La nature en 248 visages + quiz !
Un titre joueur ou volontiers poétique, porté par une image aussi indélébile que possible, florilège de 20 Unes marquantes pour les 35 ans de La Salamandre. Avec un petit quiz en prime, à vous de jouer !
Un titre joueur ou volontiers poétique, porté par une image aussi indélébile que possible, florilège de 20 Unes marquantes pour les 35 ans de La Salamandre. Avec un petit quiz en prime, à vous de jouer !
Bonjour la nuit !
Va-t-on parler d’un pays nordique où le soleil d'été ne se couche jamais ? De fêtards sur la route d’une discothèque ? Que nenni ! L’héroïne du jour est… la nuit. Lorsque les dernières lueurs du crépuscule cèdent la place à la pénombre, notre univers familier se transforme en un monde mystérieux, parfois inquiétant, mais surtout bouillonnant de vie. Difficilement accessible, tant nos yeux d’humains ne sont pas conçus pour le contempler, le royaume des ombres et ses habitants peuvent pourtant s’apprivoiser grâce à quelques astuces. Ce numéro poétique en présente quelques-unes. Bonne nuit le jour !
Mésange mi-démon
S’il est facile d’imaginer le côté ange de cette boule de plumes jaunes et grises, on se représente moins son côté démon. La délicate mésange charbonnière nourrirait-elle de sombres desseins derrière son masque noir ? Notre curiosité est piquée au vif. Ce numéro nous apprend que le doux passereau sait se montrer teigneux et chapardeur. Demandez donc aux abeilles qu’il dévore volontiers pour le dîner ! En hiver, il lui arrive même de chercher à réveiller toute une colonie en frappant les parois de leur refuge avec son bec. Mais ces actes de brigandage révèlent surtout la formidable intelligence dont fait preuve ce petit diable des jardins à la gueule d’ange.
Héron malgré lui
Tel L’ange du vol 104 du film de Lloyd Bacon, l’échassier au plumage cendré et à la huppe noire s’est retrouvé propulsé au rang de héros alors qu’il n'y aspirait aucunement. Protagoniste d’une intrigue faite de hauts, mais surtout de bas, il a lutté pour sa survie. Car s’il est commun aujourd’hui de croiser l’élégant oiseau, cela n’a pas toujours été le cas. Protégé jusqu’au XVIIIe siècle par son statut de gibier royal, il a ensuite été persécuté dans toute l’Europe à cause de sa réputation de voleur de poissons. Loin de se laisser abattre, il est lentement réapparu en se débarrassant de l’étiquette de nuisible qui lui collait aux plumes. Mon héron… ce héros.
Les filles de l’air
Mais qui sont ces filles de l’air ? D’abord filles de l’eau, telles des nymphes ou des naïades, elles s’émancipent du monde aquatique pour devenir libellules. Leurs quatre ailes fragiles sont tenues à plat au posé ? Alors elles sont æschnes au corps robuste, libellules sensu stricto ou autres cordulies. Leurs pales transparentes sont au contraire jointes sur le dos ? Voici les demoiselles, dont les agrions et les lestes font partie. Ce champ lexical féminin et féerique, pointé dans notre titre de dossier, décrit pourtant un monde de prédateurs voraces dont, évidemment, la moitié sont mâles !
Un alien au jardin
Ce numéro 221 inaugure la nouvelle identité visuelle du magazine. Le jaune salamandre s’assume sur le côté et au bas de la couverture. Osé mais efficace. Le graphiste rencontre ensuite un double défi avec l’image d’escargot retenue. D’abord, allonger la tige qui porte le mollusque afin d’obtenir une jolie diagonale. Ensuite, pivoter la photo gauche-droite pour équilibrer la couverture.
Après parution, un lecteur attentif lève le lièvre : le mollusque ainsi retourné est devenu senestre, c’est-à-dire que la spirale de sa coquille tourne vers la gauche. Or, l’immense majorité de ces gastéropodes possède une coquille dextre qui s’enroule vers la droite. Oups, un véritable alien !
Quiz
Image mystère #1 : Qui se cache derrière le détail de cette couverture ?
Le chevreuil sort du bois
Si le chevreuil a quitté sa forêt en quelques bonds, il a fallu patienter longtemps, très longtemps, avant qu’il ne pointe le bout de son nez dans ce champ de colza. Contrairement à d’autres choix plus évidents, celui-ci s’est révélé particulièrement difficile. Pas moins de 50 images de Bambi, toutes plus attendrissantes les unes que les autres, se disputaient la place de favorite. Impossible de se mettre d’accord. Puis, la communauté des réseaux sociaux de La Salamandre a été sollicitée afin de départager les deux finalistes. Manque de pot, les internautes semblaient tout aussi partagés.
Finalement, le rédacteur responsable du dossier a tranché. La légende dit que certains débattent encore de savoir quelle aurait été la meilleure photo pour servir notre chevreuil adoré.
L'autre chat
Deux oreilles tigrées qui pointent entre les herbes hautes, puis une ombre souple et féline qui s’évanouit dans les fourrés… Cela ne saurait être Félix puisque, justement, c’est l’autre : son cousin sauvage qui préfère de loin la chasse au campagnol à la plus fournie des gamelles de croquettes. Si leur pelage et leurs entrechats se ressemblent à s’y méprendre, leur histoire est tout autre. Le premier vient d’Afrique et a pris goût à son bol de lait. Quant au second, il hante depuis des millénaires les vieilles forêts d’Europe sans jamais se laisser domestiquer. Alors votre chat à vous, c’est celui-ci ou c’est l’autre ?
Ni chauves ni souris
Dis-moi qui tu n’es pas, je te dirai qui tu es. Voici l’enjeu de ce titre farceur. Alors que les mots-clés chauves et souris renseignent immédiatement sur les héroïnes de ce numéro, l’ajout de deux négations malicieuses taquine les idées reçues qui entourent ces animaux extraordinaires. Le choix du titre met en lumière l’appellation désuète et trompeuse que la nomenclature naturaliste réserve à ces insectivores volants. Mammifères poilus et en aucun cas rongeurs, les chiroptères – en grec, mains transformées en ailes – méritaient bien que nous rétablissions quelques vérités dès le début de ce dossier.
N° 230 octobre - novembre 2015
L'automne des mammouths
Tout près de chez vous. Tel est le credo de La Salamandre lorsqu’elle vous emmène en voyage. Le lieu est fixé. Puis il suffit de jouer avec l’horloge pour que le décor varie du tout au tout. Au fil des saisons, bien sûr, mais encore davantage en tournant la roue de l’Histoire. Tel a été le défi de ce numéro extraordinaire. Faire résonner à nouveau les pas lourds de colosses aux pieds d’argile sur la terre de votre propre jardin, sur la steppe qui a précédé les fondations de votre immeuble. Les mammouths sont de retour ! Voici une saisissante manière de rappeler que la nature n’appartient à personne. Elle est successivement héritée puis léguée.
N° 200 octobre - novembre 2010
Sur le sentier des douze matins
Mais où peut bien se situer cet intrigant sentier matinal ? A vous de décider ! Les auteurs de ce dossier vous proposent une expérience : faire d’un chemin banal et ordinaire le théâtre d’une fabuleuse histoire se tissant au fil des promenades et des rencontres. Ces quelques kilomètres, il vous faudra les emprunter une fois par mois, de janvier à décembre. Privilégiez un itinéraire qui vous plaise au point, peut-être, de répertorier vos observations dans un carnet de voyage. Dans cette pièce-là, point de triste saison ni de mauvais temps. La nature a l’art de tenir ses spectateurs en haleine une année durant. Chapeau l’artiste !
N° 183 décembre 2007 - janvier 2008
Hêtre mon arbre
Être un hêtre ne signifie pas rester planté là, à attendre qu’une tronçonneuse sonne la fin d’une interminable immobilité. Être un arbre c’est être unique, sensible et intelligent. Chaque jour, la science avance sur ces questions. Notre relation à la forêt et au végétal évolue en conséquence et nous sommes davantage touchés par la complexité des relations qui existent entre nos grands frères. Le hêtre, parmi tous, a touché le cœur d'un peintre et conteur fribourgeois. Dans notre dossier, par son émotion pure, il nous embarque dans une grande marche vers le respect du peuple des forêts.
N° 224 octobre - novembre 2014
Quiz
Image mystère #2 : Qui se cache derrière le détail de cette couverture ?
Sauve piqueux !
Un jeu de mots aussi piquant qu’humoristique afin d’attirer l’attention sur un problème qui l’est beaucoup moins. Chaque année, plus de 700 000 hérissons finissent aplatis sur les routes d’Europe et un rescapé sur trois est intoxiqué par nos pesticides. Donc oui, sauve qui peut ! Mais comment ? Ce numéro livre des solutions simples pour aider le petit mammifère qui, en échange, vous le rendra bien. En une nuit, un seul hérisson peut en effet croquer une centaine de chenilles, limaçons et larves qui menacent les jardins. Moralité : prenez soin du prince de piques et vos salades seront bien gardées.
Gloire et chute d’une reine
Seigneur, roi, empereur… les titres de noblesse et de haut rang sont légion pour incarner les animaux dans les fables et les contes. La Salamandre, convenons-en, n’échappe pas à cette manie anthropocentrique. Mais s’il ne faut pas en abuser, parfois, comme pour la reine des bourdons, la métaphore s’impose. Courageuse, bravant l’adversité des froids mordants, déjouant les pièges des parasites et des prédateurs, luttant comme un David contre le Goliath de la chimie agricole, le destin de cette dodue fondatrice a tout d’une épopée héroïque.
Voyage au centre de la terre
« Voilà l'image de couv’ !», s'était exclamé le graphiste lors des toutes premières réflexions autour de ce numéro consacré au royaume du sol. Il n'en a jamais démordu, malgré les arguments des uns et des autres. Quelques mois plus tard, le petit collembole translucide trône fièrement en Une du magazine et s'érige en figure de proue des peuples de la terre. Un coup de foudre artistico-naturaliste ! Cette photographie de couverture est la première et jusqu'ici l'unique résultant d'une décision aussi rapide. Belle performance de séduction pour un minuscule alien sauteur qui d'ordinaire passe totalement inaperçu.
N° 236 octobre - novembre 2016
Le castor entre deux mondes
Entre le jour et la nuit, l’eau libre et la terre ferme, la surface bouillonnante et le fond graveleux, la forêt de saules et la ville grise, le castor est-il condamné à l’interface ? Et si sa position intermédiaire et sa liberté de choisir faisaient la force du plus gros des rongeurs européens ? Alors qu’il est passé à un doigt de l’éradication, à un poil d’une mort certaine, il symbolise aujourd’hui le retour du sauvage parmi les hommes. Sa recolonisation nous raconte l’obstination de la nature à résister à la tension permanente qu’imposent les mondes changeants.
Le funambule des crêtes
La tête haute, le pied sûr, il s’élance sans chanceler sur les fines lames rocheuses qui lui servent de fil. Le spectateur qui l’observe en contrebas retient son souffle. C’est que le funambule qu’évoque cet intitulé n’a ni la carrure ni la grâce d’une ballerine. Massif et couronné de lourdes cornes, il fait plutôt penser à un clown prêt à se prendre une gamelle sur la piste centrale.
Sauf qu’en montagne, une chute peut s’avérer fatale. Or, l’imposant bouquetin de 70 kg se joue presque autant des apparences que de la mort, lorsqu’en période de rut il se lance dans de périlleuses joutes et courses-poursuites au bord de l’abîme. A cet exercice-là, ce sont rarement les freluquets qui tirent leur épingle du jeu, mais bien les mâles les plus gros et les plus vieux. Le beau capricorne n’a décidément pas volé sa réputation d'équilibriste.
N° 225 décembre 2014 - janvier 2015
Objectif lune
Douze ans ! Il aura fallu douze ans pour que La Salamandre reprenne le chemin du large. Et 72 numéros après ses Vacances à la mer, la revue des curieux de nature s’offre à nouveau à la caresse de la brise iodée. Après le rouge, le vert et même le blanc, elle ouvre enfin ses pages au bleu. Plouf ! Que ça fait du bien ! Cet interlude ressourçant en compagnie de l’incomparable poisson-lune refermé, La Salamandre se le promet, elle reviendra à la mer avant dix ans. Elle a grandi en définitive, et cet horizon inspirant n’est qu’à une journée de vol d’hirondelle de son berceau montagnard.
Quiz
Image mystère #3 : Qui se cache derrière le détail de cette couverture ?
Harle bièvre, le gentleman et la punk
Dans le port vit un couple des plus étranges. Monsieur va et vient, torse bombé, en habit reluisant de teintes rares. Propre sur lui, il cache derrière son élégance une malice de fin débrouillard. Gentleman ? A voir. Dandy, sûrement. Elle, au contraire, semble n’avoir que faire de sa toilette. Vêtue d’une robe gris poussière et outrageusement décoiffée, la cane hirsute n’a d’yeux que pour son fiérot. Seuls ou rejoints par une bande de compères, ces nageurs de la brume sont la terreur des ablettes.
Depuis ce numéro consacré au harle bièvre, vingt années ont permis au palmipède de traîner sa dégaine toujours plus loin et de coloniser moult contrées au-delà des lacs. Quel canard !
N° 123 décembre 1997 - janvier 1998
Tous à poils !
Le titre le plus osé de toute l’histoire de La Salamandre est également celui qui a suscité les réactions les plus polarisées. Au sein de notre équipe pour commencer. Imaginez l’ambiance en réunion de rédaction. « Quand même, c’est déplacé ! », se sont offusqués certains. « Mais non, c’est de l’humour ! », affirmaient d’autres. L’hésitation a été grande jusqu’au moment de boucler ce numéro consacré… au poil. Ce filament horripilant ou attractif qui se dresse, insolent, non seulement sur l'épiderme des mammifères, mais aussi sur des êtres plus surprenants comme les bactéries, les plantes ou les acariens.
Nul doute que notre ode aux toisons a fait causer dans les chaumières. Tous à poils ! : on aime ou on déteste. Tout comme le poil finalement.
Les deux cigognes
Comment créer une couverture avec un sujet double ? Bonne question. Les rares images montrant en même temps la cigogne blanche et sa cousine noire ne fonctionnent pas. Le rédacteur propose alors une idée née de son récit : la complémentarité des couleurs et les différences de modes de vie entre ces deux oiseaux remarquables trouvent une excellente représentation dans le signe du yin-yang. Bingo ! L’artiste partenaire joue le jeu avec talent et met en forme le symbole universel revisité. Le graphiste emballé par le projet apporte des touches de cohésion et propose un écrin de plumes pour poser le joyau bicéphale. La Salamandre tient une de ses couv’ les plus surprenantes.
Quiz
Image mystère #4 : Qui se cache derrière le détail de cette couverture ?
L’arbre à remonter le temps…
Voici trente-cinq ans que La salamandre de feu joue Les filles de l’air et vous emmène tantôt en Voyage dans les étoiles, tantôt Vingt mille lieues sous la terre quand ce n’est pas carrément à Fourmiland ou en Vacances à la mer. Lorsqu’il fait un Froid de canard dans nos contrées, elle n’hésite pas à suivre Les migrateurs Au sud sans perdre le nord. Mais le plus souvent, c’est simplement Sur le sentier des douze matins, là où Le jardin fait son cinéma et où Le chevreuil sort du bois que La bête noire vous organise une Rencontre du 3e type. Mésange mi-démon, elle enseigne L’art d’aimer tous les Cadeaux de nature.
« Craignez-vous ce serpent ? », interroge par exemple La petite reine de la nuit, « Sauve piqueux ! », répondrez-vous peut-être de prime abord. Et telle la Lumière sur le blanc, elle vous amènera doucement à faire l’Eloge de la couleuvre. Car pour écouter les Confessions d’un rougegorge et comprendre L’invincible étourneau, il faut d’abord Apprendre l’oiseau. Alors n’hésitez pas à vous glisser Dans la peau d’une tortue et vous pencher sur Les Héros de la mare, tels que L’oiseau turquoise et Les libellules. Ou encore Le castor entre deux mondes qui fait son Retour à pas de loutre. Plongez dans les mousses juste pour L’amour des lichens. Prenez de la hauteur pour Voler avec les insectes ou jouer à Cache-cache avec l’écureuil. Tel Le funambule des crêtes, accélérez le pas, car Elle court, elle court l’hermine. Et surtout, pour voir La vie en roses n’oubliez pas que le Vert, c’est la vie !
Redécouvrez tous les anciens numéros de La Salamandre en ligne.
Concours
Du 8 au 13 octobre, encore plus d’images mystères à identifier sur notre page Facebook. Gagnez des anciens numéros de La Salamandre et des abonnements annuels.
Encore plus de questions sur nos anciens numéros !
Question #1 : Quel est le poids de la plus petite chouette d'Europe ?
- A : 65 g.
- B : 125 g.
- C : 1,2 kg.
Question #2 : Quelles sont les couleurs au contraste desquelles
nous sommes le plus sensibles ?
- A : Le blanc, le noir et le bleu.
- B : Le noir, le vert et le rouge.
- C : Le blanc, le noir et le rouge.
Question #3 : Quelle propriété soignante possède le sureau ?
- A : Appliquée localement, une feuille pliée et écrasée stoppe les saignements de nez.
- B : Mâcher des feuilles aide à arrêter de fumer.
- C : Des masques de jus de baies macérées diminuent les boutons d'acné.
Question #4 : Quel est le point commun entre Guérande en France et Bex en Suisse ?
- A : Des cistudes ont été transplantées entre les deux localités.
- B : Ces deux communes sont les seules d’Europe où la mouche invasive Drosophila ater a été observée.
- C : La production de sel.
Question #5 : Quel est l’âge du plus ancien grillon connu ?
- A : 125 000 ans.
- B : Environ 1 million d’années.
- C : 70 millions d’années.
Question #6 : A quoi sert, entre autres, la longue queue touffue du renard ?
- A : A stabiliser l’animal lorsqu’il est assis.
- B : A réduire les pertes thermiques. En hiver, le renard se roule en boule et place sa queue
devant son museau et sur ses pattes. - C : A chasser les mouches et autres parasites qui importunent sans cesse le goupil.
Question #7 : A quelle vitesse vole généralement un étourneau en vol ?
- A : 70 km/h.
- B : 95 km/h.
- C : 150 km/h.
Question #8 : Pourquoi ne faut-il pas graver des cœurs et autres messages sur le tronc des hêtres ?
- A : Leur écorce étant très fine, toute blessure favorise l’attaque de champignons qui déforme leur croissance en provoquant boursouflures et plaies béantes.
- B : La sève sucrée qui s’écoule des coupures est toxique pour nombre d’oiseaux et de petits mammifères.
- C : Car les histoires d'amour finissent mal en général.
Question #9 : Quelle est la durée de vie moyenne d’une coccinelle à sept points ?
- A : Quelques jours.
- B : Environ un an.
- C : 4 à 5 ans.
Question #10 : Comment la grenouille a-t-elle survécu aux glaciations alors que beaucoup d’amphibiens euro-péens ont disparu ?
- A : En entrant en léthargie durant les périodes glaciaires et en se reproduisant massivement lors des phases de redoux tempéré.
- B : Les adultes n’ont pas survécu au froid extrême, seuls leurs œufs ont été conservés.
- C : En se réfugiant dans les trois péninsules méridionales du continent (Ibérie, Italie et Balkans).
Les réponses aux questions !
Réponse #1
A : 65 g.
Réponse #2
C : Le blanc, le noir et le rouge.
Réponse #3
A : Appliquée localement, une feuille pliée et écrasée stoppe les saignements de nez.
Réponse #4
C : La production de sel.
Réponse #5
C : 70 millions d’années.
Réponse #6
B : A réduire les pertes thermiques. En hiver, le renard se roule en boule et place sa queue
devant son museau et sur ses pattes.
Réponse #7
A : 70 km/h.
Réponse #8
A : Leur écorce étant très fine, toute blessure favorise l’attaque de champignons qui déforme leur croissance en provoquant boursouflures et plaies béantes.
Réponse #9
B : Environ un an.
Réponse #10
C : En se réfugiant dans les trois péninsules méridionales du continent (Ibérie, Italie et Balkans)
Cet article est extrait de la Revue Salamandre
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